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Deux jours après le début du Mondial au Qatar, les polémiques entourant les symboles LGBT+ n’en finissent pas. L’ancienne capitaine de la sélection galloise, Laura McAllister, et une association de supporteurs gallois, ont expliqué qu’ils avaient dû enlever leurs chapeaux arc-en-ciel pour assister au match Etats-Unis-Pays de Galles (1-1) lundi 21 novembre.

« Pendant que nous faisions la queue, nous avons entendu que les gens qui portaient un bob arc-en-ciel », le symbole de l’association galloise de supporteurs LGBT Rainbow Wall, « avaient dû l’enlever », a rapporté à la chaîne ITV News l’ex-joueuse, qui siège, entre autres, au comité exécutif de la fédération galloise.

Comme le montre une vidéo diffusée sur Twitter par Rainbow Wall, l’ex-capitaine a franchi le portillon de contrôle avec son chapeau avant qu’une agente puis un agent de sécurité ne le montrent du doigt et, selon elle, lui intiment de l’enlever. « Ils ont dit que (…) c’était un symbole interdit et que nous n’étions pas autorisés à le porter dans le stade », a expliqué Laura McAllister.

Mae cefnogwyr sydd â nwyddau gyda symbol yr enfys arnynt wedi profi trafferthion wrth fynd i mewn i'r stadiwm i wyl… https://t.co/AATcv9lOla— NewyddionS4C (@Newyddion S4C)

Pas de brassard « One Love » sur les terrains qataris

Alors que sept équipes européennes ont renoncé lundi à arborer au Mondial un brassard coloré « One Love » contre les discriminations, pour éviter les sanctions sportives dont les menaçait la FIFA, l’instance répète que « tout le monde est le bienvenu » dans les stades du Qatar et qu’elle est elle-même engagée contre l’homophobie.

« J’ai fait remarquer que la FIFA avait fait de nombreux commentaires sur le soutien aux droits LGBT lors de ce tournoi. Venant d’un pays où nous sommes très engagés sur le fait de garantir l’égalité pour tous, je ne comptais pas enlever mon chapeau », a-t-elle poursuivi.

L’ancienne joueuse a expliqué avoir été contrainte, avec d’autres, de « ressortir du stade » pour déposer le couvre-chef « dans une zone pour objets trouvés », mais elle a préféré glisser le chapeau dans son sac pour l’introduire de nouveau dans l’enceinte, « une petite victoire morale ».


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Deux jours après le début du Mondial au Qatar, les polémiques entourant les symboles LGBT+ n’en finissent pas. L’ancienne capitaine de la sélection galloise, Laura McAllister, et une association de supporteurs gallois, ont expliqué qu’ils avaient dû enlever leurs chapeaux arc-en-ciel pour assister au match Etats-Unis-Pays de Galles (1-1) lundi 21 novembre.

« Pendant que nous faisions la queue, nous avons entendu que les gens qui portaient un bob arc-en-ciel », le symbole de l’association galloise de supporteurs LGBT Rainbow Wall, « avaient dû l’enlever », a rapporté à la chaîne ITV News l’ex-joueuse, qui siège, entre autres, au comité exécutif de la fédération galloise.

Comme le montre une vidéo diffusée sur Twitter par Rainbow Wall, l’ex-capitaine a franchi le portillon de contrôle avec son chapeau avant qu’une agente puis un agent de sécurité ne le montrent du doigt et, selon elle, lui intiment de l’enlever. « Ils ont dit que (…) c’était un symbole interdit et que nous n’étions pas autorisés à le porter dans le stade », a expliqué Laura McAllister.

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Pas de brassard « One Love » sur les terrains qataris

Alors que sept équipes européennes ont renoncé lundi à arborer au Mondial un brassard coloré « One Love » contre les discriminations, pour éviter les sanctions sportives dont les menaçait la FIFA, l’instance répète que « tout le monde est le bienvenu » dans les stades du Qatar et qu’elle est elle-même engagée contre l’homophobie.

« J’ai fait remarquer que la FIFA avait fait de nombreux commentaires sur le soutien aux droits LGBT lors de ce tournoi. Venant d’un pays où nous sommes très engagés sur le fait de garantir l’égalité pour tous, je ne comptais pas enlever mon chapeau », a-t-elle poursuivi.

L’ancienne joueuse a expliqué avoir été contrainte, avec d’autres, de « ressortir du stade » pour déposer le couvre-chef « dans une zone pour objets trouvés », mais elle a préféré glisser le chapeau dans son sac pour l’introduire de nouveau dans l’enceinte, « une petite victoire morale ».


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