Le Conseil de la Première Nation des Innus Essipit et Pekuakamiulnuatsh Takuhikan accueille favorablement le rapport final de la Commission indépendante sur les caribous forestiers et montagnards. Les membres de communautés sont satisfaits de «la très grande majorité des recommandations formulées dans le rapport, ces dernières reprenant en partie l’essence même de leurs propres pistes de solution».
Les Premières Nations d’Essipit et de Mashteuiatsh sont heureuses que la Commission indépendante ait signalé la nécessité, pour la future stratégie caribou, de tenir compte de l’attachement des Premières Nations à l’espèce, de leurs savoirs et connaissances ainsi que des impacts potentiels sur les droits et titres ancestraux.
Elles se réjouissent également que le rapport insiste sur la nécessité pour le gouvernement d’initier une discussion formelle avec les Premières Nations, dans une relation de nation à nation, en vue de respecter l’obligation constitutionnelle de consulter et d’accommoder. D’ailleurs, elles déploraient au départ le fait que le forum de la Commission indépendante n’était pas conforme aux obligations constitutionnelles de l’État en matière de consultation et d’accommodement. Elles avaient proposé une rencontre privée avec les commissaires, qui avait eu lieu.
Les Premières Nations ont toutefois une préoccupation sur l’urgence d’agir. En lisant le rapport, on apprend en effet qu’il y aura la mise en place de nouveaux comités de concertation.
« Devant l’urgence d’agir, le temps n’est plus à la discussion, mais bien aux actions. Les scientifiques d’abord puis le rapport de la Commission maintenant indiquent clairement ce qui doit être fait pour sauver le caribou. Les faits ne peuvent plus être remis en question », mentionne le chef de la Première Nation des Pekuakamiulnuatsh, Gilbert Dominique.
Les Premières Nations ont toutefois une préoccupation sur l’urgence d’agir. En lisant le rapport, on apprend en effet qu’il y aura la mise en place de nouveaux comités de concertation.
« Devant l’urgence d’agir, le temps n’est plus à la discussion, mais bien aux actions. Les scientifiques d’abord puis le rapport de la Commission maintenant indiquent clairement ce qui doit être fait pour sauver le caribou. Les faits ne peuvent plus être remis en question », mentionne le chef de la Première Nation des Pekuakamiulnuatsh, Gilbert Dominique.