Olivia Ruiz maman : rares confidences sur son fils Nino
À l’occasion de la sortie de son deuxième roman, Écoute la pluie tomber, Olivia Ruiz a accordé un entretien à Paris Match. Elle s’est confiée sur sa carrière, ses origines et sur son fils, Nino.
Chanteuse, comédienne, Olivia Ruiz est aussi écrivaine. Preuve en est, la sortie de son deuxième roman, Écoute la pluie tomber. Un livre qui évoque l’exil de sa grand-mère maternelle qui a fui l’Espagne de Franco. C’est pour en faire la promotion que l’Occitane a accordé un entretien à Paris Match, paru dans le numéro du mercredi 22 juin. Elle a ainsi expliqué dans les pages de l’hebdomadaire que cette nouvelle création était due à une envie de lever le pied et de ralentir le rythme après avoir enchaîné les concerts. « J’ai eu envie, en 2013, de m’occuper de mon fils. Il m’avait accompagné sur ma dernière tournée parce qu’il était tout petit. Mais là, je ne pouvais plus enchaîner à un tel rythme », a-t-elle confié.
Né en novembre 2015 de son histoire avec Nicolas Preschey, Nino ne semble pas pour l’instant attiré par une carrière artistique, plus intéressé par le foot. « Ses parents baignent dans cet univers-là, c’est bien pour lui qu’il ait autre chose pour se construire », a-t-elle expliqué dans les pages du magazine.
De la Star Academy à la littérature
En pleine promotion pour son deuxième livre, celle qui s’est fait connaître en 2002 dans l’émission Star Académie est revenue sur cette période de sa vie au micro de France Inter, le 23 mai dernier. « Je me suis retrouvée avec deux producteurs en studio, pour produire la chanson, qui ne comprenaient pas du tout ce que je voulais. J'étais dans une maison de disques qui ne m'avait clairement pas choisie (...) J'étais vraiment paumée. » Une « drôle de période » mais pendant laquelle elle s’est sentie « perdue ». Alors que l’émission phare des années 2000 devrait prochainement faire son grand retour, l’ancienne candidate a eu une petite pensée pour les futurs participants. « Mon seul souhait, c'est qu'ils prennent un peu plus soin des candidats (...) J'ai une petite inquiétude maternelle pour les futurs candidats, c'est tout ce qui m'importe. Il faut penser à l'après », a-t-elle recommandé.