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Valérie Pécresse mocked in front of Nico

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Durant la campagne présidentielle, Nicolas Sarkozy a fait le choix de ne pas soutenir la candidate LR, Valérie Pécresse avant d’annoncer son ralliement à Emmanuel Macron. Une prise de position de l’ancien président qui a suscité l’incompréhension au sein de son camp.

Avant le premier tour de la présidentielle, un à un, les cadors du parti et ses proches s’étaient relayés, rue de Miromesnil, sans succès, pour essayer de le convaincre d’apporter officiellement son soutien à la candidate LR, Valérie Pécresse. Alain Minc, l’influent conseiller du CAC 40 qui a officiellement soutenu la présidente du Conseil régional d'Île-de-France, avait lui aussi poussé Nicolas Sarkozy à faire un geste. Ce fut, là encore, un échec. Sa décision était déjà prise.

⋙ Découvrez les hommes de la vie de Valérie Pécresse

Coup de grâce à l'entre-deux tours

Avec seulement 4,8% à l’issue du premier tour, le score de Valérie Pécresse était sans appel. Et si elle n’a pas réussi à convaincre les électeurs, c’est au sein de sa famille politique que le revers a été le plus grand. Et pour cause : Nicolas Sarkozy a attendu sa défaite pour enfin sortir du silence et officialiser...son ralliement à Emmanuel Macron. Un choix incompris au sein de son camp. “Tu vas te prendre les pieds dans le tapis. Tu vas te mettre à dos toute ta famille, foutre en l’air trente ans d’histoire politique !” lui avait notamment prédit l'un de ses amis avant même l’officialisation de son soutien à Emmanuel Macron.

L'annonce est intervenue pendant l’entre-deux tours. Un choix de calendrier qui convenait aussi bien à Emmanuel Macron qu’à la candidate LR. À l’Élysée, la prudence était de mise. On estimait en effet qu’un ralliement trop précoce pouvait dissuader d’éventuels électeurs de gauche de voter pour Emmanuel Macron. Du côté des Républicains, on craignait que cela n’hypothèque définitivement les chances de se qualifier pour le second tour. Mais cela n’aura rien changé au sort de Valérie Pécresse qui n’a pas dépassé pas la barre des 5%, nécessaire au remboursement des frais de campagne.

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Durant la campagne présidentielle, Nicolas Sarkozy a fait le choix de ne pas soutenir la candidate LR, Valérie Pécresse avant d’annoncer son ralliement à Emmanuel Macron. Une prise de position de l’ancien président qui a suscité l’incompréhension au sein de son camp.

Avant le premier tour de la présidentielle, un à un, les cadors du parti et ses proches s’étaient relayés, rue de Miromesnil, sans succès, pour essayer de le convaincre d’apporter officiellement son soutien à la candidate LR, Valérie Pécresse. Alain Minc, l’influent conseiller du CAC 40 qui a officiellement soutenu la présidente du Conseil régional d'Île-de-France, avait lui aussi poussé Nicolas Sarkozy à faire un geste. Ce fut, là encore, un échec. Sa décision était déjà prise.

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Coup de grâce à l'entre-deux tours

Avec seulement 4,8% à l’issue du premier tour, le score de Valérie Pécresse était sans appel. Et si elle n’a pas réussi à convaincre les électeurs, c’est au sein de sa famille politique que le revers a été le plus grand. Et pour cause : Nicolas Sarkozy a attendu sa défaite pour enfin sortir du silence et officialiser...son ralliement à Emmanuel Macron. Un choix incompris au sein de son camp. “Tu vas te prendre les pieds dans le tapis. Tu vas te mettre à dos toute ta famille, foutre en l’air trente ans d’histoire politique !” lui avait notamment prédit l'un de ses amis avant même l’officialisation de son soutien à Emmanuel Macron.

L'annonce est intervenue pendant l’entre-deux tours. Un choix de calendrier qui convenait aussi bien à Emmanuel Macron qu’à la candidate LR. À l’Élysée, la prudence était de mise. On estimait en effet qu’un ralliement trop précoce pouvait dissuader d’éventuels électeurs de gauche de voter pour Emmanuel Macron. Du côté des Républicains, on craignait que cela n’hypothèque définitivement les chances de se qualifier pour le second tour. Mais cela n’aura rien changé au sort de Valérie Pécresse qui n’a pas dépassé pas la barre des 5%, nécessaire au remboursement des frais de campagne.

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