Selon les informations du Daily Mail, après être tombé malade lors d'une récente réunion avec ses chefs militaires, le président russe, Vladimir Poutine, aurait reçu une "assistance médicale urgente".
Depuis plusieurs semaines, la santé du président russe, Valdimir Poutine, est au centre de nombreuses rumeurs. Cancer de la thyroïde, chute de cheval… les spéculations vont bon train. Et celles-ci se poursuivent avec le Daily Mail qui révèle de nouvelles informations, ce vendredi 10 juin, au sujet de l'état de santé du chef d'État russe. Selon son site Internet, Vladimir Poutine aurait ressenti "un malaise aigu, une faiblesse et des vertiges", alors qu'il se levait de son bureau à la suite d'une récente vidéoconférence avec des conseillers et des chefs militaires, relayant les faits rapportés par la chaîne russe Telegram General SVR.
Les médecins auraient conseillé au président russe de ne pas faire d'apparitions publiques "longues" après être tombé malade au cours de discussions avec ses chefs militaires, a affirmé un proche du Kremlin au média britannique. "Le président avait besoin d'une assistance médicale urgente", a également affirmé la chaîne de télévision. Des affirmations qui sont impossibles à vérifier, précise le Daily Mail qui ajoute que de nombreuses photos et vidéos sont apparues ces dernières semaines dans lesquelles le dirigeant russe est apparu gonflé et mal à l'aise, victime de tremblements de jambes ou encore avec une démarche mal assurée.
Une personne chargée de "collecter ses déjections naturelles " ?
Le magazine Paris Match dévoilait, ce jeudi 9 juin, un intrigant faisceau de preuves et évoque le rôle aussi particulier que suspect d'un proche du président russe. La première preuve avancée pour légitimer les hypothèses qui affluent sur les réseaux sociaux serait la présence d'une personne, “chargée de collecter ses déjections naturelles et de les emporter à Moscou”, lorsqu'il est en voyage à l'étranger. Et ce, depuis au moins l'année 2019 selon le magazine. Cela serait ainsi l'une des preuves que “ses excréments et urines recèlent des informations capitales pour l'avenir du monde”. Après “récolte”, ces déjections seraient placées dans une valise prévue à cet effet, pour ne laisser aucune trace et renforcer la pression et le devoir de discrétion absolue qui reposent sur le personnel de l'ambassade de Russie.